Nouveaux pictogrammes, nouvelles classes de danger, nouvelles étiquettes...

L'entrée en vigueur du nouveau système de classification et d'étiquetage des produits chimiques risque de modifier sensiblement les repères et les habitudes des entreprises.

Qu'elles soient impliquées dans le commerce des produits chimiques ou simples utilisatrices.

Les produits chimiques sont omniprésents en milieu de travail, et leur présence est parfois insoupçonnée. Ils sont souvent utilisés de façon délibérée. Ils peuvent être émis sous forme de poussières, de fumées, de vapeurs ou de gaz par des matériaux, des procédés ou lors de leur emploi.

Après évaluation des risques, des mesures de prévention doivent donc être mises en oeuvre : suppression ou substitution lorsque c'est techniquement possible, ventilation et assainissement de l'air, règles d'hygiène, formation...

En cette période de crise, il faut bien trouver l’argent là où il ne se trouve pas, soit dans la poche des automobilistes…

Ils savent tous dorénavant que le triangle de signalisation et le gilet rétro-réfléchissant est obligatoire selon le décret du 30 juillet, article 19, qui précise que : « le fait, pour tout conducteur, de contrevenir à une ou plusieurs dispositions (…) est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe »… Soit d’une amende de 135 euros.

Donc, en vertu de ce décret, l’automobiliste en infraction, ne disposant ni d’un gilet ni d’un triangle devait recevoir un PV unique de 135 euros...